Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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NDA invité de l'Amphi de France Info

27/05/2010 13:41

NDA invité de l'Amphi de France Info


http://www.dailymotion.com/video/xdg60x_nda-invite-de-l-amphi-de-france-inf_news




Nicolas Dupont-Aignan dénonce le nouvel ordre mondial !

26/05/2010 17:20

Nicolas Dupont-Aignan dénonce le nouvel ordre mondial !


http://www.dailymotion.com/video/xdfn7h_nicolas-dupont-aignan-denonce-le-no_news




Le sacrifice d’Aurélie Fouquet ouvrira-t-il enfin les yeux de nos dirigeants ?

26/05/2010 17:15

Le sacrifice d’Aurélie Fouquet ouvrira-t-il enfin les yeux de nos dirigeants ?


Une nouvelle fois toutes les autorités de la République vont pleurer la disparition d’un policier, cette fois-ci municipal, tombé sous les balles de criminels qui n’ont peur de rien.
Quand comprendra-t-on qu’ils ne craignent plus rien car, tout simplement, il n’y a plus de peine suffisamment dissuasive ?
Je me souviens d’un débat récent à l’Assemblée Nationale où nous n’étions que trois Députés à batailler pour faire adopter un amendement supprimant les remises de peine automatiques pour les condamnés à la prison. La Garde des Sceaux, Michèle Alliot-Marie, avait appelé au secours le groupe socialiste et le groupe UMP pour rejeter notre amendement car, selon elle, il fallait pouvoir « tenir » les prisons et laisser un espoir aux détenus. Argument commode, qui masque la raison principale, la paupérisation alarmante de la Justice en France : en effet, l’Etat ne consacre pas assez d’argent à son système pénitentiaire (moitié moins par habitant qu’en Allemagne et en Grande-Bretagne), dont la décrépitude et les carences criantes en moyens humains (greffes, surveillants) suscitent régulièrement les protestations des associations de droits de l’homme et du Parlement.
Le résultat, c’est qu’on cherche par tous les moyens à réduire le taux d’occupation de prisons surpeuplées, y compris en laissant des condamnés dangereux à l’air libre. La France est ainsi le pays démocratique le plus laxiste au monde puisqu’un détenu sait que s’il se conduit correctement en prison, il bénéficiera de 5 mois par année de condamnation de remise de peine. Très concrètement, le braqueur retrouvé avant-hier avait été condamné en 2002 à 12 ans de prison pour agression cruelle, le « saucissonnage » d’un couple de retraités. Dans n’importe quel autre pays, il serait resté derrière les barreaux jusqu’en 2014. Mais en France il est bien sûr sorti à peine la moitié de sa peine purgée !
Comment, dans ces conditions, veut-on faire respecter les forces de l’ordre ?
Comment, dans ces conditions, peut-on garantir la sécurité des Français ?
Combien de temps encore le gouvernement s’imagine-t-il pouvoir rester les bras croisés ?
Combien de morts faudra-t-il attendre pour que la France fasse respecter la loi républicaine ?
Sans compter avec les coupes sombres dans le budget de la Police Nationale, qui s’ajoutent au dénuement de l’institution judiciaire. L’application bornée et stupide de la règle du non remplacement d’un départ en retraite sur deux dans la police aboutit très concrètement à vider nos commissariats de banlieue qui n’ont plus les moyens de leur mission.
Les policiers et les Français dans ces conditions ne peuvent plus croire un instant aux discours de fausse fermeté que multiplie le Président de la République.
C’est pourquoi, afin que le valeureux sacrifice d’Aurélie Fouquet ne soit pas vain, je déposerai une nouvelle proposition de loi pour supprimer les remises de peine automatiques.
NDA







Fin de la retraite à 60 ans : il faut cesser de gérer la pénurie pour renouer avec une économie de croissance !

26/05/2010 12:38

Fin de la retraite à 60 ans : il faut cesser de gérer la pénurie pour renouer avec une économie de croissance !


En avouant la fin de la retraite à 60 ans, le gouvernement s'enferme dans une politique économique malthusienne et injuste, qu'il faut changer d'urgence pour refonder notre système de retraite par répartition.

COMMUNIQUE DE PRESSE

Fin de la retraite à 60 ans : une posture injuste et inefficace

La fin de la retraite à 60 ans, finalement avouée par le ministre du Travail, constitue une double faute, de forme et de fond.
Sur la forme, Eric WOERTH confirme ce que tout le monde craignait : la concertation gouvernementale n’est qu’un leurre, loin de la démarche ouverte et transparente qui aurait dû être engagée.
Sur le fond, pour plaire et complaire à Berlin et Bruxelles, le gouvernement endosse une posture qui sera aussi injuste qu’inefficace.
Injuste, car comment ignorer que ce sont les ouvriers et les employés, entrés plus tôt que les autres salariés dans la vie active, qui vont payer au prix fort l’addition ?
Inefficace, car à quoi bon relever l’âge légal de la retraite alors que le chômage des plus de 50 ans est chronique dans notre pays ? Les statistiques des retraités vont ainsi diminuer pour accroître celles des chômeurs.
Une autre politique est possible pour remettre à flot la retraite par répartition, sans handicaper notre économie. A condition de tout faire pour renouer avec le plein-emploi, ce qui implique de rompre avec les dogmes bruxellois et de sortir de l’euro, qui tuent la croissance et privent la France de plusieurs millions de cotisations. A condition, aussi, de créer une TVA sociale faisant participer les produits importés au financement de la protection sociale et d’imposer plus justement les revenus du capital (taxe Tobin), comme les banques.
Ainsi, au lieu de gérer la pénurie de richesse anticipée pour 2020 ou 2030, le gouvernement ferait mieux de faire grossir maintenant le gâteau de la croissance et de veiller à le répartir plus équitablement.
Je présenterai mardi 1er juin au ministre du Travail les propositions de Debout la République visant au maintien et à la refondation d’un système juste et soutenable de la retraite par répartition.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN - Député de l’Essonne - Président du rassemblement gaulliste Debout la République





Pourquoi le plan de sauvetage de 750 milliards est un coup d’épée dans l’eau

26/05/2010 12:31

Pourquoi le plan de sauvetage de 750 milliards est un coup d’épée dans l’eau


Dans une tribune publiée dans le quotidien Le Monde, NDA analyse l'impasse du "sauvetage" d'un l'euro qui va étouffer de plus en plus la croissance. Il plaide en conséquence pour une sortie ordonnée et rapide de la monnaie unique, seule issue pour sauver la construction européenne
Cet article, l’un des rares dans les colonnes du quotidien du soir à contester le dogme de l’euro, suscite les commentaires enflammés des abonnés. Vous pouvez les retrouver ici.

Sortir de l’euro pour sauver l’Europe, par Nicolas Dupont-Aignan

Lemonde.fr, lundi 24 mai 2010

Le plan de 750 milliards pour soi-disant sauver l’euro ne résout rien. Il n’aura d’ailleurs fallu que 24 heures aux marchés pour s’en rendre compte.
Refusant d’admettre l’échec de l’euro, les dirigeants européens ont engagé l’Union dans une double impasse, économique et politique.
L’impasse économique réside tout simplement dans l’impossibilité d’appliquer durablement une monnaie unique à des économies trop différentes. Le plan de 750 milliards d’euros ne traite pas la cause du mal : l’euro trop cher pour les économies du Sud (Portugal, Espagne, Italie, Grèce) et la France, dont la compétitivité s’est dégradée au fil du temps face à l’Allemagne. Le résultat est là : les importations augmentent, les exportations ralentissent, les déficits extérieurs se creusent, les pays s’appauvrissent, les déficits budgétaires et les dettes explosent. Seule la dévaluation qui impose d’abord la sortie de l’euro pourrait leur permettre de relancer leur économie pour ensuite rééquilibrer les comptes publics. N’oublions jamais qu’en 1958 le général de Gaulle a pu, avec Jacques Rueff, mener une politique exemplaire de redressement des finances publiques car il avait accepté parallèlement une dévaluation de 18 %.
Après nous avoir expliqué pendant des années que l’euro c’est plus de croissance et le rapprochement des économies, les dirigeants européens désavoués par les faits récitent un nouveau discours incantatoire : il faut instaurer un gouvernement économique.
Mais avec quelle légitimité démocratique et pour quelle politique ? La réponse des intégristes de la Commission et de la Banque centrale européenne sous influence allemande ne s’est pas fait attendre : il faut de la rigueur. Malheureusement cette politique d’austérité déjà avalisée par les dirigeants espagnols, grecs et portugais, va aboutir à l’effet inverse à celui recherché : diminution de la consommation, contraction du PIB, explosion du chômage, diminution des recettes fiscales.
Paradoxalement, la lutte contre les déficits sans croissance aboutit à l’explosion des déficits et de la dette, non à leur diminution. C’est un mécanisme bien connu en histoire économique, dont le fameux épisode du "Bloc-or" imposé par Laval en France entre 1932 et 1935, a abouti au saccage de l’économie française durant l’entre-deux-guerres ; pendant ce temps, cette même déflation installait Hitler au pouvoir en Allemagne… Aujourd’hui, on se propose même d’inscrire ces politiques de déflation dans le marbre d’une "gouvernance européenne" exclusivement punitive et quasiment pas solidaire, comme vient de le rappeler Angela Merkel, refusant une "Union des transferts financiers". Voudrait-on tuer le malade qu’on ne s’y prendrait pas autrement !

MAIS L’IMPASSE N’EST PAS SEULEMENT ÉCONOMIQUE, ELLE EST AUSSI POLITIQUE.

Tout d’abord, le plan de soutien de 750 milliards n’est que virtuel et il calera aussitôt qu’on voudra le mettre en œuvre. A l’exception du premier versement à la Grèce, dès qu’il s’agira de passer à la caisse pour des sommes beaucoup plus importantes, bien évidemment, plus personne ne voudra payer. Les peuples du Nord ne voudront pas mettre la main à la poche pour ceux du Sud. En désavouant Madame Merkel et en lui faisant perdre la majorité au Bundesrat, les électeurs allemands l’ont clairement dit. Ils ne veulent pas payer ni s’endetter pour financer à fonds perdu les économies du Sud. Les peuples du Sud de leur côté ne voudront pas subir des politiques d’austérité qui, loin de résoudre leurs problèmes de compétitivité, vont les aggraver. Les troubles sociaux aboutiront obligatoirement à des soubresauts politiques.
On le voit, l’euro n’est pas réformable. La seule solution reste donc bel et bien le retour des monnaies nationales, qui pourraient être assorties d’un euro monnaie de réserve les surplombant et garantissant une coordination économique volontaire. Le plus tôt serait le mieux, car il est bien entendu préférable d’opérer ce changement tant qu’il en est encore temps, en bon ordre, plutôt que sous la contrainte de l’urgence. Et qu’on arrête de faire croire que la disparition de l’euro dans sa forme actuelle signerait la disparition de l’Europe. L’existence de pays comme la Suède et le Danemark, qui refusent l’euro tout en étant des membres exemplaires de l’Union européenne, démontre s’il en était besoin que ce discours de peur ne repose sur aucun fondement sérieux !
Hélas, les dirigeants européens ne veulent pas entendre raison… Quand comprendront-ils qu’en s’arc-boutant pour défendre coûte que coûte l’euro, ils éloignent les peuples de la construction européenne et prennent le risque de la déconsidérer définitivement ? Pendant ce temps, la Chine, le Brésil, l’Inde, laissent déprécier leur monnaie pour gagner des parts de marché, mettent en œuvre un protectionnisme déguisé pour défendre leurs plus belles entreprises et investissent massivement dans l’éducation, la connaissance, la science.
Bâtir des coopérations industrielles à la carte, multiplier les partenariats scientifiques, faire revenir les dizaines de milliers de chercheurs européens exilés aux Etats-Unis, redonner une dignité par le travail et un espoir aux jeunes générations, mettre en œuvre une politique familiale pour renouveler la démographie… Voilà les vrais défis !

Nicolas Dupont-Aignan est député de l’Essonne et président du rassemblement gaulliste Debout la République.







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